Au
programme pour ces deux jours d'acclimatation (quel plaisir cette chaleur après
le temps très frais de la maison) promenades et apparition dans une fête ou
Jean Louis donne des cours (la fête avait déjà beaucoup de retard et on
s'éclipse.
Pour le dimanche on doit retrouver Céline, Michel, Albine et deux
autres dames de l'asso Agir au Buffet de la Gare. J'avais aussi donné
rendez-vous et Julia et son fils pour leur remettre un ordi, ainsi qu'aux
enfants de Gabriel qui eux devaient me payer celui que j'avais acheté pour leur
père. Tout va bien sauf que le buffet de la gare est fermé (grève des
cuisiniers) alors on file dehors en rigolant bien contents de se retrouver.
Deux enfants s'approchent en gesticulant, je continue à parler et quand je
réalise le risque majeur des pick pockets à cet endroit je ne peux qu'effleurer
la main du gamin qui me fait les poches. Petite poursuite pendant laquelle je
m'étale de tout mon long et je ne peux que constater la disparition définitive
de mon smartphone.Je suis vexé de ce moment de baisse de vigilance à un endroit
où j'indique à tout le monde qu'il faut l'être. Le fils de Julia et quelques
jeunes parcourent le quartier en proposant une prime à qui le rapportera. En
vain. Voilà un paquet de données perdues et le lien sympa de liaison avec
Blandine qui disparaît. Trop bête, mais finalement je m'en veux plus à moi
qu'aux enfants. Évidemment ça perturbe bien l'après-midi. On fixe des choses
avec Michel, des points à continuer etc… et on se sépare. Je passe plusieurs
coups de fil à Blandine (avec le téléphone malgache qui me reste) et chacun de
notre côté nous tentons de bloquer ce fichu machin envolé. Grâce à la clé 3G
(plutôt digne de nos bons vieux modems 33 kbits) et avec plein de patience
j'arrive à bloquer l'engin et je peux vérifier qu'il n'a pas du tout été
utilisé. On tourne la page, vers 3 h je dors avec bien des courbatures.
Dur, dur ! Cet incident nous a bien chamboulés aussi à distance et on se sentait vraiment impuissant devant l'obstacles des codes et autres mots de passe pour t'aider. C'est déjà bien que tu aies pu suspendre la ligne.
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