8 et 9 octobre

Mercredi 8 octobre

C'est l'ami Pierre, notre voisin, qui nous a emmenés à la gare d'Angers suffisamment tôt pour que nous puissions prendre nos tickets TGV Air qui combinent SNCF et compagnies aériennes. On monte dans le train pour Marseille qui passe naturellement par Paris ! Surprise Yvonne et Pierre d'Anjou Mada sont dans le même wagon mais eux vraiment pour Marseille ! Henry (président d'Anjou-Mada) est venu nous saluer, il a pu aussi constater le volume de nos bagages ! Un coup de TGV puis de navette plus tard (Massy Orly) et nous voilà à attendre le départ. Le soleil brille à nouveau et on peut sortir se dégourdir préventivement les jambes.

L'aérogare d'Orly

Le vol est confortable, on se regarde des films pas vus (genre Party Girl et Paulette) et on ne dort pas beaucoup. Le petit jour nous surprend à Mayotte où nous attendrons 1 heure avant de repartir pour Madagascar que nous atteindrons à l'heure prévue 10 h du matin heure locale.

Jeudi 9 octobre

 

 

 

Première vue de Madagascar sur l'embouchure boueuse du fleuve

 

Surprise : ni Jo ni Sitraka ne sont là. Je fais redémarrer mon téléphone malgache et, par l'intermédiaire de leur père Gabriel, j'arrive à les contacter... Ils ont des soucis MAIS 1heure 30 plus tard ils sont là : Jo et un de leurs amis Tsiry. Les contre trmps pour le voyage plus celui là, ils font profil bas mais ils se rattrappent fort : ils feront Tana Antsirabé aller retour dans l'après-midi et la soirée. On s'arrête casser une croûte dans le secteur du foie gras, très sympa. On a aussi acheté de ces magnifiques ananas qui nous régalent d'avance !

 

La cuisine et le restaurant

 

Blandine et moi ne verrons pas tout du paysage, on s'assoupit de temps en temps. Cela n'empêche pas le plaisir de retrouver les beaux paysages et cette belle architecture des hauts plateaux.

Les hauts plateaux

En se rapprochant d'Antsirabe, sous une belle lumière de fin de journée, j'ai pu prendre cette image d'un effondrement ancien de terrain (un lavaka) reconquis par les paysans.

Une lavaka